Le jour ou j'ai obligé mon copain à se soumettre

Catégories : Humour, FESSESTORY sexe, BDSM,libertin, ABDL, fessée
il y a 6 ans

Je m’appelle Audrey, vingt huit ans, assez jolie. Aujourd’hui, je vais au stade, pour encourager mon copain Arnaud, qui participe au dernier match de rugby de la saison. Arnaud est un colosse d’un mètre quatre vingt quinze, pour cent dix kilos de muscles.

Il fait un temps magnifique, aussi, pour la circonstance, j’ai mis une tenue légère. Mini jupe, et chemise nouée sur le nombril.

En arrivant au stade, je sens le regard des mâles rivés sur moi. Je les regarde en souriant. L’équipe adverse, est formée en partie de jeunes maghrébins, taillés dans le roc.

Après quelques minutes de jeux, lors d’un placage rageur, un joueur, envoie mon copain hors du terrain. Fracture tibia, péroné. La tuile.

Arnaud est immédiatement emmené aux urgences. Son état nécessite une opération.

Arnaud est emmené dans une chambre à un lit, d’un relax et d’une chaise. Encore endormi, les infirmières le mettent au lit. Il est vêtu d’une chemise ouverte, qui ne cache rien de son anatomie. Je m’installe confortablement sur l’épais fauteuil prévu pour les visites.

Soudain, au bout de dix minutes, on frappe à la porte.

« Qui cela peut-il être, personne ne sais qu’on est là »

J’ouvre, et là, stupeur. C’est le joueur qui a blessé mon copain.

-Bonjour, dit-il, je m’appelle Youssef. Je suis désolé de ce qui est arrivé à vôtre mari. C’était involontaire.

-C’est mon copain, que je réponds, c’est le risque en pratiquant un sport violent. C’est gentil d’être passé le voir.

Je remarque le regard moqueur de Youssef en voyant les attributs d’Arnaud. Je m’empresse de le couvrir.

-J’allais prendre le bus, dis-je, je n’ai pas de voiture.

-Mais je peux vous ramener, propose le jeune maghrébin.

-C’est vrai, ça ne vous dérange pas.

-Mais pas du tout, je vous dois bien ça. Ne serait-ce pour me faire pardonner.

En arrivant à la villa, je lui propose de rentrer prendre un verre. Vite fait, me dit-il, car il doit encore prendre sa douche. Je lui propose de la prendre ici, pendant que je sers à boire.

Je prépare les serviettes de bains, un short de mon copain. Involontairement, en passant devant la porte, je me permets de faire la curieuse. Et là, je n’en reviens pas. Le membre de Youssef bizarrement en érection, est énorme…au moins vingt centimètre, pour cinq, six de diamètre. Rien à voir avec les seize, dix sept d’Arnaud.

Je suis en train de servir à boire au mini bar, quand je sens deux bras robustes enserrer ma taille. Malgré la surprise, je ne me dérobe pas. Je ne résiste pas non plus, quand il dénoue ma chemise, et me prend les seins à pleine main. Les bouts se mettent à durcir quant il les fait rouler entre ses doigts. Lentement, il me prend les mains, les fait passer dans mon dos. Il me force à saisir sa bite, toujours en érection. J’avais bien vu. La bite est colossale, accompagné d’un énorme paire de couilles. Tout pour satisfaire une femme…et je suis une femme.

-Alors, elle n’est pas belle ma queue…comme celle de ton copain ?

-Non…la sienne est plus petite…arrêtez…je suis fidèle vous savez…

Pour toute réponse, il remonte ma jupe sur mes hanches. Et moi comme une conne qui est quitté ma culotte en arrivant. Il s’en aperçoit. Avec l’index de chaque main, il écarte mes lèvres intimes, excite mon clitoris.

-Hum…qu’est-ce que vous me faite salaud…ma petite chatte va être toute mouillée…

-Et alors, vous n’aimez pas qu’on vous la gratte, qu’on doigte vôtre petit bouton…

-Oh si que j’aime…surtout que mon copain n’est pas un expert…

Soudain, il me fait pivoter, face à lui. Il me serre dans ses bras, me prend les lèvres. Je réponds fougueusement au baiser. Lentement, il m’entraine au lit.

Je passe une nuit torride. Rien à voir avec les câlins expédiés de mon copain. Il est quatre heures du matin, quand j’ai mon dernier orgasme sous la douche.

Encore toute nue, je le raccompagne sur la terrasse, ou on se donne un dernier baiser.

-Tu as aimé, me demande-t-il en me prenant par la taille.

-Si j’ai aimé, putain. J’ai découvert beaucoup de choses cette nuit…la sodomie, tailler des pipes, avaler du sperme…je n’ai jamais fait ça avec mon copain.

-Et ton copain, il n’a jamais essayé de se faire sodomiser…

-Ca va pas…tu n’aurais pas une idée derrière la tête.

-Si, mais il faudrait que tu sois d’accord, que tu m’aides…tu ne voudrais voir ton copain se soumettre, se faire baiser devant toi. Réfléchis ma chérie. Allez, bonne nuit.

Suite à la proposition indécente de Youssef, je n’ai rien dormi de la nuit, m’imaginant les scènes les plus torrides. J’imagine mon copain sucé la bite de Youssef, ou encore se faire enculer par le jeune maghrébin.

C’est toute retournée que j’arrive à l’hôpital. L’infirmière me dit qu’elle a été obligée de lui donner un somnifère, car il était très agité. A peine arrivé, Youssef arrive. Il me prend dans ses bras, et me prend les lèvres.

-Alors, dit-il, comment il va…et c’est quoi qui dépasse là.

-C’est son petit oiseau, que je lui réponds.

-Si petit, poursuit-il en lui tirant les couilles hors des fesses.

-Arrêtes Youssef, déconnes pas.

-Mais je ne vais pas lui faire mal. C’est vrai qu’il n’est pas bien monté ton mec. Ca à du te changer cette nuit, ajoute-t-il en décalottant le zob de mon copain. Je vois qu’il n’est pas circoncis…j’ai ma jeune sœur qui le fait ça.

-Mais tu es fou…ça doit être douloureux sur un adulte.

-Je ne sais pas, dit-il en faisant le tour du lit. Sa bouche à l’air étroite.

-Qu’est-ce que tu fais…arrêtes…

-Je veux juste voir l’effet que ça me ferait s’il me suçait.

Sur ce, Youssef sort son énorme bite. Je reste scotchée, sidérée par la scène, même si elle me parait excitante. Je vois l’énorme bite de Youssef, ouvrir les lèvres de mon copain, et glisser à l’intérieur de sa bouche.

-Oh putain, ça doit être super de se faire tailler une pipe par ton mec…et l’autre trou.

Youssef soulève la jambe d’Arnaud, gratte le petit trou avec un doigt. Puis il présente son énorme gland décalotté près du petit orifice.

-Assez Youssef, arrêtes ça…quelqu’un peut rentrer.

Mes remarques n’y font rien. Youssef lubrifie le bout de sa bite. Petit à petit, je vois le gland disparaitre dans le petit trou de mon copain, qui pousse un râle de douleur. La moitié de la queue disparait, comme aspirée par le petit orifice. Calmement, Youssef entame de lent va et vient.

Tout ce que j’ai imaginé cette nuit, se réalise, sous mes yeux. Une agréable chaleur envahi mon ventre. Je m’approche du lit, saisis la main de Youssef, la glisse entre mes jambes. Je lui souffle à l’oreille.

« Vas-y, caresses moi la chatte. J’ai réfléchi, je veux qu’il se soumette ».

Soudain, Youssef m’écarte du bras. Il sort sa queue, la présente devant la bouche de mon copain.

-Oh putain, gémit-il. Vite, ouvre lui la bouche…ah…ah…je crache…ouais.

Je vois le sperme giclé au fond de la gorge d’Arnaud. Avec la langue, c’est moi qui prends en charge le nettoyage du gland. Puis, câlinement, je caresse les cheveux de mon copain à moitié endormi, et qui ne s’est redu compte de rien. Je lui susurre à l’oreille.

« Alors mon chéri, c’était bon. Finalement, tu auras eu ton quatre heures. »

Avec Youssef, nous quittons l’hôpital. Cette scène m’a excitée. Moi aussi, il me faut ma dose de sperme. Il me faut en profité, mon mari sort demain.

Le lendemain, Arnaud m’attend, assis sur le lit.

-Bonjour mon chéri, dis-je en l’embrassant au bord des lèvres. Je suis parti hier, tu dormais.

-Je sais ma chérie, me répond-il. Je me suis réveillé tard. J’avais un drôle de gout dans la bouche, mais surtout, j’avais mal au cul. Pendant que j’étais assoupi, j’ai senti un gros engin pénétrer mon petit trou. Même si ça faisait un peu mal, j’ai ressenti une agréable sensation.

Je fais comme si je ne savais rien. Je vais à l’accueil signer les papiers, quand mon copain me surprend dans les bras de Youssef, venu à l’improviste, en train de m’embrasser.

-C’est quoi ça, demande-t-il. En plus avec le con qui m’a cassé la jambe.

-Attends, mon amour, je t’explique. L’engin que tu as pris dans le cul, c’était la grosse bite de Youssef…le mauvis gout dans ta bouche, c’était son sperme. Youssef est mon amant, et je voudrai qu’il devienne le tien, sinon, je te quitte, je pars avec lui.

-Oh non, pas ça ma chérie, tu sais que je t’aime, je ferai ce que tu voudras.

-Ok, j’espère que tu vas être sage, et de bien lui obéir s’il veut jouer avec toi.

Mon copain est devenu très docile. Tous les jours, il a droit à sa sodomie. Même la nuit, quand Youssef a envie d’une petite gâterie.

  • Arnaud, mon chéri, tu peux venir tailler une pipe à Youssef. Et de tout avaler, j’ai changé les draps.

Voici d’ailleurs, quelques anecdotes. Un jour, en rentrant du bureau, j’entends mon copain hurler de douleur, puis une voix qui gronde.

« Arrêtes, dit la voix. «

Une heure plus tard, mon copain sort de la chambre, entièrement nu, un pansement au bout de la queue. C’est Nadia, la sœur de Youssef, qui l’a circoncis.

Une autre fois, je vois mon colosse de mari coincé dans l’angle du canapé. Youssef est en train de l’enculer.

-Pourquoi tu couines, dit Youssef, tu devrais te régaler maintenant.

-Oh oui je me régale, j’aime sentir ta queue dans mon petit trou, mais elle est tellement grosse. Puis ça fait trois fois que tu m’encules aujourd’hui. Tu n’arrêtes pas de me remplir.

-La saison prochaine, tu vas prendre ta licence dans nôtre club. Tu vas voir comme on va t’enculer sous la douche, dans les vestiaires. Tu vas nous sucer aussi.

Et voilà, mon copain est devenu nôtre jouet sexuel. Il se plie à tous nos caprices, même les plus pervers. Certains weekends, Youssef invite des copains avec leurs copines. Ils s’amusent avec Arnaud. Surtout les femmes qui jouent avec un endroit précis de son anatomie, jusqu’à ce qu’il supplie, qu’il finisse en larmes.

Ce n’est pas la peine de d’être un colosse, et se faire traiter comme une lopette.

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